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Fujiwara Atsuto

« Je trouve l'idée d'écrire sur ce cahier ridicule, je n'aime pas connaitre mes plus profondes pensées et je n'ai pas envie que quelqu'un tombe sur ce cahier, c'est un risque inutile .. Mais ça fait parti du traitement que la mignonne psychiatre m'a prescrit comme à beaucoup à l'hôpital.

 

Je m'appelle Fujiwara Atsuto, j'ai vingt quatre ans, avant d'arriver dans cet hôpital, je vivais à Sidney, avec ma tante, ma seule famille.

Tout aller pour le mieux jusqu'à ce que je fasse une crise de colère dû à un caprice d'enfant, je me souviens très bien de ce sentiment, une perte de contrôle soudaine, c'était comme si j'étais possédé par le diable, le diable qui vivait en moi pendant des années et qui c'était enfin réveiller. Suite cet incident qui avait détruit tout le mobilier de ma tante, je me suis retrouvé chez un psychiatrique qui m'a diagnostiqué atteint du trouble de la personnalité bordeline, et c'est comme ça que je suis arrivé à l'hôpital psychiatrique Matsuzawa, interné et cela avec mon accord et je n'aurais jamais dû ... Parce que j'ai découvert leur secret, un secret qui pourrait ternir leur réputation. 

A chaque fois que je m'apprêtais à tomber dans les bras de morphé, je revoyais ces images, du sang, des seringues et des centaines de personnes qui criaient leur deséspoir en espérant qu'un héro, et le plus frustrant c'est que j'en faisais parti, j'attendais mes cris mêlés à ceux des autres, qui s'accordaient parfaitement pour crée la douce mélodie des enfers. Au début, je croyais que j'avais totalement perdu la raison, c'est pour ça que j'en ai parlé à la psychiatre qui me suivait à l'hôpital, elle avait l'air très hésitante à me dire la vérité avant de déclarer qu'il fallait que augmenter la dose de mes médicaments ... Sans doute parce qu'ils n'étaient pas assez puissants pour m'endormir? 

Quelques mois après, j'étais libre mais ma conscience ne l'était pas, elle me disait que mon travail n'était pas fini, découvrir la vérité n'est pas suffisant mais il fallait qu'ils soient tous punis, alors, j'ai décidé de mener mes investigation, et pour cela, j'ai crée un blog sous le pseudonyme de " Haya "  au sujet des atrocités qui se passaient dans l'établissement, et c'est ainsi que j'ai pû contacter une étudiante en médecine légale qui semblait intéréssée par l'enquête, puis ce fût une jeune coréenne et son petit frère qui me demandèrent de rejoindre l'équipe, et c'est ainsi que tout commença. Â»

Extrait tiré du journal de Atsuto

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